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C’est pour moi la prise
En CAP découpage
Ma première, un peu gord mais on s’y habitue.
De jolies lamelles…
Nous arrivons à Lisbonne et allons bientôt passer le pont de Vasco de Gamma.
Ca navigue par ici…
Rencontre de français sur les flots
Nous avions oublier qu’un pont comme celui-ci fait énormément de bruit…
Heureusement que MesAnges nous isole du bruit…
Le grand marché de Lisbonne… avec WIFI!!!
De bons produits à petits coups, plusieurs salles : -une pour les fruits, légumes et poissons
-pour les fleurs -pour manger
Ceci est un arbre…
Les trains sur la route…
Les taxis typiques de Lisbone… avec de jolies filles
Pas cher… le taxi
Et le troisième jour, nous sommes allé en car à Fatima.
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Toute la journée au moteur, vent de face très faible.
Quand nous étions arrivés au mouillage et que le moteur fut éteint c’était paisible calme et ça faisait du bien aux oreilles.
On rentre entre deux digues de rocher avec le port à droite et les bateaux pêcheurs à gauche.
Nous nous mettons au milieux au fond. Aucun bateau au mouillage, ils sont au port.
Le moteur a bien chauffé l’eau, on l’apprécie en se douchant
Finit ma douche, c’est au tour de papa.
TOCTOCTOC , je sors la tête du bateau et vois de personne sur le bateau de la gendarmerie maritime. Je pensais qu’il ne voulait pas qu’on mouille ici et qu’il faille aller au port mais non, ils voulaient les papiers administratifs de MesAnges.
OUF!! c’était tellement calme pour qu’on y reste
Bon maintenant, continuons de savourer ce requin
Une nuit paisible, comme dans un port et le plus, moi j’ai dormi les fenêtres ouvertes.
La tenue vestimentaire en dit déjà beaucoup sur le temps mais on va pouvoir manger
Cette fois nous avons un vent portant à 12-15 nds.
Le radar et l’ais sont bien utiles.
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Une bonne nuit de sommeil et nous voilà parti à naviguer pendant 30 milles pour ne faire que 20 milles.
Le vent de face, ça fait perdre beaucoup de temps et ça nous a rallongé de 10 milles, 3 h de plus pour arriver à une plage
Arrivée dans la soirée à un mouillage avec une « carte de bienvenue ». Un bateau de pêcheur dans les rochers : très rassurant.
Nous entrons quand même dans le mouillage et voyons qu’au fond il y a une cinquantaine de surfeurs, c’est signe qu’il y a des vagues et effectivement, il y en a mesurant dans les 1 à 2 m mais elles ne se lèvent que vers la plage donc là où nous sommes, c’est plat, enfin un petit peu.
Une mer lisse et pourtant très mal dormi. Le peu de houle que nous avons eu nous a fait tanguer de gauche à droite toute la nuit. Le lendemain matin, les cernes étaient au rdv
Nous continuons notre route vers un autre mouillage qui d’après la carte est dans un port donc très bien protégé : ON ESPÈRE !!!
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Réveillé le matin à 8 h par une houle de 20 cm bien que la nuit est été calme, nous mettons voile sur le côté Ouest du Portugal.
Nous avons prévu d’être tout en haut (en Galice en Espagne) dans une semaine.
La côte Ouest est mauvaise car peu d’abri, des filets et des casiers un partout et des barres (barre : zone profonde devenant moins profonde en peu de temps ce qui provoque une montée de vague provoquant des rouleaux, lors de mauvais temps ce qui est difficile voir dangereux pour rentrer dans un port)
Nous allons remonter jusqu’à Lisbonne en trois étapes puis ensuite naviguer pendant 3 jours et 2 nuits pour arriver en Galice.
Un petit vent de 8-10 nds au près.
Nous allons aussi remonter le Portugal rapidement car nous avons une fenêtre d’une semaine avec un vent de 15 à 25 nds de Sud-Ouest.
Une légère brume apparaît, nous allumons le radar.
Il doit souvent y avoir de la brume ici car il y a un phare sonore.
Arrivé au mouillage avec un bateau français.
Exploration des rochers…
Pas encore de baignade, l’eau est à 15°C AGLAGLAGLA !!!
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On hisse la grand-voile, puis sortie du spi et ensuite au tour du génois.
Encore un temps de demoiselle, maman adore.
Une journée de navigation tranquille et reposante… mais… BZZZZZZ
Ma canne se plie et déroule très vite.
Je la prend, serre le frein et ferre le poisson (ferrer : Tendre le fil et tirer un coup sec vers soi pour que le poisson soit bien accroché) et je commence à le ramener. Le poisson est encore vivace et tire, je n’arrive pas à le ramener. J’attends qu’il se fatigue et commence à le ramener.
OUHLA, c’est un jeune requin, il mesure un peu moins d’1m.
On regarde sur internet qu’es-ce que c’est comme race et ensuite cherchons si il est mangeable.
C’est un requin à peau bleu qui est effectivement mangeable.
On attend une bonne dizaine de minutes qu’il soit KO et commençons le découpage.
N’oubliez pas que c’est lui qui voulait manger mon poisson…
Toujours aussi tranquille sur l’eau, nous mettons un petit coup de moteur pour arriver dans le mouillage, pas loin du cap St Vincent.
Et bien le requin fut un délice, la chaire, super tendre, et aucune arrête.
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